• Soirée cinéma avec M...
    Eh oui, à évoquer mes projets de mariage avec Little, j'en oublie de parler de M...
    Nous sommes allés au cinéma l'autre soir...

    Et une fois encore, je me dis qu'il n'y a pas de hasard...

    Nous étions partis pour voir un film distrayant, le but étant moins de nous "cultiver" devant un écran noir que de passer un moment exquis ensemble...

    Pas de hasard...

    Peindre ou faire l'amourArrivés devant la salle, le film prévu n'y était pas projeté. Nous faisions demi-tour lorsqu'au moment de quitter le cinéma, j'aperçois un film "Peindre ou faire l'amour" que nous avions évoqué en riant, M. et moi.
    En effet, le sujet (l'échangisme) nous titille depuis longtemps.

    Comme je ne peins pas, l'alternative est simple.
    Et puis, un film exaltant la sensualité charnelle des couples, la fête des corps et le plaisir des sens...
    Rien ne pouvait mieux nous convenir.

    Pas de hasard...

    Si je vous dis qu'il était programmé aux mêmes horaires que le film initialement prévu et que nos pas nous ont menés à cette salle... trouverez-vous comme moi que le hasard fait terriblement bien les choses ?

    Nous n'avons donc pas été voir le film prévu, M. et moi.
    Et ce moment passé ensemble fut une réussite dont je m'émerveille encore...


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  • J'écoute distraitement la radio... quant une petite chronique retient mon attention.

    Poignées d'amourIl nous est expliqué que l'homme métrosexuel, concept qui était à la mode depuis quelques mois, à peine quelques années, est déjà mort et enterré.

    Les médias, grands savants et faiseurs de modes, ont décrété que le nouveau concept actuel est celui de l'homme übersexuel. Il s'agit d'un homme au comportement plus viril, plus affirmé, reléguant aux oubliettes du ridicule un métrosexuel devenu trop fragile et efféminé, maniéré.

    Il est vrai qu'il y a une vraie différence entre un homme qui prenait jusqu'ici soin de sa personne et ce nouveau concept baignant dans une "mâle attitude", un retour du macho en quelque sorte...

    Décidemment, les publicitaires, sociologues et autres décodeurs de notre modernité trépidante vivent à l'ère du zapping et malmènent maintenant les hommes comme ils ont joué avec les femmes depuis des décennies...
    Le concept de l'homme-objet, sujet de leurs délires, semble en tout cas bien acquis et maîtrisé.

    Messieurs, votre testostérone va subir les ballotages de ce grand balancier médiatique qui régit notre monde superficiel et d'apparences...

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  • Désolé à tous...
    Pas le temps de bloguer cette semaine...

    Juste le temps de vous lire en vitesse, lorsque le débit internet du bureau me le permet (et cette semaine, c'est catastrophique !)

    A plus...
    Je me rattraperai la semaine prochaine, c'est dit !


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  • rideauJournée noire aujourd'hui...

    Rideau personnel...

    Vivement demain !


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  • Ne trouvez-vous pas bizarre comme la sensation de manque peut être perçue différemment :

    - une personne est géographiquement proche, et vous ne la voyez pas de la semaine... vous manque-t-elle ? certes, mais pas de façon exagérée...

    - elle vous dit qu'elle part une semaine à l'autre bout de la France. Vous ne la voyez pas plus souvent. Vous manque-t-elle ? Terriblement.

    - elle fait un voyage et part huit jours à l'autre bout du monde. Est-ce vivable ? Non. C'est insupportable, intolérable.

    D'où la formule suivante :
      soient
    - D la distance,
    - E l'intensité émotionnelle,
    - M la sensation de manque.

    M = E x D

    Cette formule se vérifie également pour les personnes que vous n'aimez pas. Voire même si c'est une personne antipathique.
    E devient négatif et le manque est alors d'autant moins ressenti que cette personne désagréable est loin.

    Une formule pourtant trop simple pour être vraie à 100%.
    Car pour certaines personnes, la proximité donne une réalité aux sentiments éprouvés.
    Ainsi, plus la personne est loin, moins les sentiments semblent réels.

    Soit R la perception de réalité, on aura :

    R = E / D

    En simplifiant cette équation, on obtient donc :

    E = R x D

    Et en remplaçant cette nouvelle expression de E dans la première équation, on aura :

    M = E x D = (R x D) x D = R x D²

    shadokM = R x D²

    Donc la sensation de manque (M) est caractérisée par le sentiment de réalité (R) exacerbé par l'éloignement (D) de la personne aimée.

    Ainsi, il est démontré que, plus nous sommes convaincus de la réalité de nos sentiments, plus l'éloignement aggrave la sensation de manque.

    C'est logique, me direz-vous, mais le voir ainsi démontré par les mathématiques me ravit.

    Pas vous ?


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