• champagne

    Fin d'une année, lancez les cotillons !
    Je ne sais comment elle vous aura réussi,
    J'ai connu mieux, j'ai connu pire aussi...
    Fin d'une année, lancez les cotillons !

    Fin d'une année, la nostalgie me gagne,
    A l'aube de l'an neuf, bilan et interrogations,
    Et sourire à la Vie, nouvelles résolutions...
    Fin d'une année, la nostalgie me gagne.

    Sortons nos paillettes, avec strass et panache,
    Il est temps de ranger, dans la fête et les rires,
    L'année 2004 au rayon des souvenirs...
    Sortons nos paillettes, avec strass et panache.

    Mes vœux les plus sincères vous accompagnent ici :
    Que l'année à venir soit belle en émotions,
    Que 2005 soit propice à vos résolutions,
    Mes vœux les plus sincères vous accompagnent, amis :

    BONNE ANNÉE A TOUS !


    12 commentaires
  • Pourquoi aime-t-on ? Pourquoi l'attirance, la tendresse qu'on éprouve se changent-elles soudain en un sentiment dont la force, la violence nous effraient ?
    Pourquoi a-t-on alors parfois l'impression de ne plus rien maîtriser, de perdre pied... au point d'en avoir peur ?

    Pourquoi, malgré toutes les promesses raisonnées qu'on peut se faire mutuellement, malgré l'envie réciproque de ne vivre que des moments agréables, ludiques et insouciants, pourquoi faut-il que cela finisse par déchirer le coeur, au point de penser à l'horrible issue (puisque nous nageons dans le bonheur) : y mettre fin dès maintenant, tout arrêter car cela semblerait moins douloureux que continuer ?

    Pourquoi l'emballement merveilleux des sentiments fait-il peur aussi ? Est-ce d'ailleurs cette douce émotion qui effraie ? ou bien la sensation de ne plus maîtriser son existence ? ou bien encore la projection dans le futur qu'on peut se faire, pour tenter d'imaginer comment sera vécu et perçu un après "avec" par rapport à un après "sans" ?

    Autant de vertiges... sans raison... puisque tout va merveilleusement bien...
    Mais également sans réponse satisfaisante...
    Absurde paradoxe qui me laisse démuni, impuissant, désemparé...

    Il me semble que nous soyons condamnés à surmonter tant bien que mal ces épreuves, soit en tranchant dans le vif et en choisissant la solution du nettoyage par le vide (la plus douloureuse et la moins satisfaisante à mon avis), soit en dialoguant pour vaincre ces peurs, le plus souvent irraisonnées (mais d'ailleurs, que vient donc faire la raison là-dedans, puisqu'il n'y en a point ?)

    Vaincre ces peurs, surmonter cette difficulté et vivre cette relation le plus sereinement du monde... ou peut-être le moins douloureusement possible... voilà le défi qui nous attend...


    12 commentaires
  • Créer. Un plaisir qui ne m'a jamais quitté. D'aussi loin que je me souvienne.
    Écrire, composer, inventer, réaliser, façonner... autant de mots qui se rapportent à la même activité.

    Connaissez-vous le plaisir de saisir un stylo et de le faire courir sur une page blanche ? L'idée de se dire un instant que le monde vous appartient et que vous allez peut-être pouvoir produire cet acte magique qui, né de votre propre pensée, c'est-à-dire complètement immatériel, va donner corps à cette idée et lui procurer une existence aux yeux des autres, aux yeux du monde entier.

    Instant, acte jubilatoire... Il est certes transcendé par l'acte de conception de cette idée, lorsque cela se passe bien. Même si l'on n'échappe pas à des frustrations, à des moments de découragement lorsque ce qui est produit n'est pas conforme aux attentes, à la projection mentale idéale qu'on ne peut manquer de se faire...

    Créer... acte si simple, mais si énorme lorsqu'on daigne s'y pencher pour l'étudier... J'aime cette magie procurée par l'impression fugace que mon esprit est face à un petit défi dont mon imagination, ma concentration, mon intelligence (oh, rassurez-vous, que je qualifierais très modestement et très simplement comme une combinaison adéquate d'analyse, d'expérience acquise, de connaissances et de débrouillardise...), me permettent de venir victorieusement à bout.

    Je reste ainsi un admirateur inconditionnel de ceux qui savent créer, entreprendre, oser, réaliser leurs idées (n'est-ce pas, Alchy ? sincèrement, je te tire mon chapeau !). A contrario, ceux qui dénigrent et critiquent sans idée constructive m'insupportent au plus haut point.

    Je connais aussi mes limites, qui naissent de mes défauts, de cette dispersion où m'entraîne immanquablement le bouillonnement de mes idées... A tout vouloir faire, je ne fais rien et la notion de perte de temps est un vertige qui m'affole et m'angoisse chaque jour un peu plus...
    Mais je ne regrette pas - loin de là - les tourbillons créatifs qui sont les miens...

    Un jour, j'inventerai une machine à créer des journées de 48 voire 72 heures, pour faire tout ce que j'ai envie de faire dans une simple journée...


    9 commentaires
  • Souvent j'ai du mal à vous parler du quotidien
    À vous bloguer sur des choses insignifiantes,
    J'imagine tellement qu'elles ne vous diraient rien
    Vous méritez des nouvelles bien plus palpitantes...

    J'ai parfois du mal, excusez ma pudeur
    Même si ce blog, je l'écris d'abord pour moi
    Mais si vous me lisez, je deviens un auteur
    Et cette exigence rejaillit sur mes choix.

    Je m'exprime souvent en vers, masque pratique,
    Qui me permet ainsi de vous dissimuler
    Mes hésitations de timide chronique
    Et ma grandiloquence parfois bien mal placée...

    Mais bavard je suis, bavard je reste,
    Pour ne rien dire, je noircis cette page,
    Il vous faudra lire jusqu'au bout... peste !
    Mes rimes de pacotille, mes vers de bas étage...

    L'an nouveau arrive, et voici l'heure des souhaits :
    Que vais-je vous promettre, chers amis blogueurs ?
    Des commentaires par centaines, comme s'il en pleuvait
    Ou bien des récits de mes moments charmeurs ?

    Je vais rester le même, ce qui n'est pas si mal
    Et continuer mon chemin de lutin insouciant
    Et vous lirez ici, dans ce virtuel journal
    Mon quotidien intime, états d'âme et d'amant.

    sapin


    2 commentaires
  • L'heure est aux souhaits...  Je vais partir bientôt.

    J'avais prévu, moi aussi, d'écrire pour donner mon sentiment par rapport à tout ce qui se passe depuis peu sur Blogland.
    Et puis pour dire quelle serait ma position.

    Mais l'heure est aux souhaits... Je m'exprimerai plus tard.


    Alors, je vous souhaite de très belles fêtes de Noël.
    Pensez fort à tous ceux que vous aimez...
    Je ferai de même...
    Soyez sages, profitez bien de ce temps qui doit être un temps de trêve, de sérénité et d'apaisement. Avec vous-même. Avec les autres.

    Je reviens le 27. Soyez sages : n'écrivez pas trop, je veux pouvoir tout lire dès lundi !

    L'heure est aux souhaits... JOYEUX NOËL !!!


    5 commentaires



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires