• Pourquoi je t'aime, sais-tu pourquoi ?
    Pourquoi je t'aime, oh oui, pourquoi ?

    coeur_mainsPour être apparue dans mes nuits, par surprise,
    Alors que je ne m'y attendais pas,
    Pour enchanter, par ton rire,
    Mes errances virtuelles et mes faux pas...

    Pourquoi je t'aime, sais-tu pourquoi ?
    Pourquoi je t'aime, oh oui, pourquoi ?

    Pour ta pétillance et ton énergie,
    Pour ce tourbillon qui a pris ma vie,
    Pour ton regard vert où je me noie,
    Pour tes dents qui mordent quelquefois...

    Pourquoi je t'aime, sais-tu pourquoi ?
    Pourquoi je t'aime, oh oui, pourquoi ?

    Pour tes mots qui dérangent, malheur,
    Pour cette tendresse qui apaise, douceur
    Pour cet Amour qui dévore, dévore,
    Pour cette passion qui étourdit encore...

    Pourquoi je t'aime, sais-tu pourquoi ?
    Pourquoi je t'aime, oh oui, pourquoi ?

    Pour cette exigence sans concessions,
    Pour cette transparence, à l'unisson,
    Pour cette appartenance, comme un fou,
    Pour cette confiance, au-delà de tout...

    Pourquoi je t'aime, sais-tu pourquoi ?
    Pourquoi je t'aime, oh oui, pourquoi ?

    Pour mes maladresses que tu corriges,
    Pour mes faiblesses que tu balayes,
    Pour mes caresses que tu diriges,
    Pour ma tendresse que tu accueilles...

    Ces mots ne seraient que des mots
    Si mon coeur ne les avait pas dictés,
    Et si l'angoisse de te perdre un jour
    Ne me faisait pas tant trembler...

    Pourquoi je t'aime, sais-tu pourquoi ?
    Pourquoi je t'aime, oh oui, pourquoi ?

    Pour m'apprendre à exister pour moi,
    Et corriger mes dispersions funestes
    Qui m'épuisent à petit feu
    Et me détruisent peu à peu...

    Pourquoi je t'aime, sais-tu pourquoi ?
    Pourquoi je t'aime, oh oui, pourquoi ?

    Pour m'apprendre à reprendre confiance,
    Pour m'ouvrir de nouvelles portes,
    Pour m'offrir et le plaisir et la souffrance
    Dans des émotions toujours plus fortes...

    Pourquoi je t'aime, sais-tu pourquoi ?
    Pourquoi je t'aime, oh oui, pourquoi ?

    Pour savoir découvrir mes fleurs du Mal,
    Et mes chants de Maldoror,
    Pour appuyer là où j'ai mal,
    Quand je n'ose supplier "Encore..."

    Pourquoi je t'aime, sais-tu pourquoi ?
    Pourquoi je t'aime, oh oui, pourquoi ?

    Pour me montrer la gangue stérile
    Qui recouvrait mon âme fragile,
    Et m'apprendre à renaître ainsi
    A tes côtés, redécouvrir la Vie...

    Pourquoi je t'aime, sais-tu pourquoi ?
    Pourquoi je t'aime, oh oui, pourquoi ?

    Pour être Celle que j'aime enfin,
    Même si la vie, par dérision,
    Nous a ignoré et encore nous retient,
    Et nous empêche de vivre à l'unisson...

    Voilà pourquoi je t'aime, bonheurs et malheurs,
    Pour tout ça et pour bien plus encore,
    Pour ces mots issus de mon coeur,
    Pour ces cris issus de mon corps...

    M.... je t'aime...


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  • Week-end de folie... mais satisfaisant. Enfin, sous certains points.

    Plus de Net chez moi depuis mercredi. La panne est sévère.
    L'éradication manuelle et sans appel d'un spyware récalcitrant a planté Windows. Réparation impossible. Il m'a fallu reformater la partition système et tout réinstaller.
    Heureusement que j'installe toujours les logiciels et les données sur deux autres partitions. Ainsi, je n'ai rien perdu... si ce n'est 3 soirs pour analyser, tenter de réparer et tout réinstaller !

    Du coup, mes réalisations informatiques personnelles ont pris du retard. Une commande que j'avais depuis plusieurs semaines, en instance de validation et de livraison, a dû être finalisée durant toute la journée de dimanche. Fichu week-end...

    Tout ça pour dire que, malgré tout, certaines choses progressent et qu'il est réjouissant d'être confronté à des difficultés et d'arriver à les surmonter...

    Maintenant, tout n'est pas si rose...

    Je n'ai rien pu faire d'autre depuis 4 jours. Pas de visite à Blogland depuis, hormis quelques brefs commentaires depuis le bureau ou dès que j'ai pu avoir un système opérationnel.

    Accumulation de fatigue, nuits très courtes, nouveaux saignements de nez... mais c'est moins intense qu'avant, heureusement...

    coeurEt le plus grave est que je n'ai pu voir M. que vendredi, mais en des circonstances telles que nous n'avons pu être ni proches ni tendres... Je l'ai sentie loin de moi, même à mes côtés, et je n'en ai été ni heureux ni à l'aise...

    Du coup, je ne sais si le bilan reste vraiment très positif.
    La semaine qui vient devra être plus souriante pour M. et moi : j'y suis condamné !
    J'en ai besoin. J'ai faim de sa présence, de la voir, de la toucher, de la caresser, de l'embrasser, de la prendre dans mes bras... de l'aimer tout simplement...


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  • C'est quoi être adulte ?
    Il me semble que je suis à peine plus sage qu'à 17 ans.
    L'expérience des années n'a pas entamé ma folie ni mes rêves.
    Ma seule limite reste mon entourage, professionnel et familial.
    Mes craintes n'ont pas changé.
    Les responsabilités sont toujours affrontées en habillant mes peurs d'imaginaire rassurant, de jeux, et d'analyses pratiques.
    Mais l'impression de jouer un rôle reste souvent présente, même si ce rôle n'existe peut-être pas...

    SupermanJ'imaginais le passage à l'âge adulte comme une mue, une peau ancienne, l'adolescence, que j'aurais laissé tomber ; un changement radical et fondamental dans tout mon être...
    J'attends encore que l'habit de Superman vienne déchirer le costume-cravate que je porte aujourd'hui...

    Alors, qui suis-je ?
    Suis-je plus responsable aujourd'hui ? j'essaye de faire face, tant bien que mal...
    Suis-je moi, ce personnage que j'ai du mal à cerner, décrit en haut à gauche de cette écran ?
    Suis-je un rêve ? une illusion ? un fantôme ?
    J'aimerais grandir, et j'en ai peur aussi...

    Et... s'il n'y avait pas de miracle ?
    Si Superman n'était qu'un mythe ? voilà tout à coup une perspective qui me terrorise...
    Alors... vite, il me faut trouver le costume de l'homme invisible, pour l'enfiler... et disparaître...


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  • Till l'EspiègleLutin je suis, et toujours Lutin je reste,
    Ma vie je crois, sera encore ainsi faite,
    De pragmatisme cartésien, de mots de poète,
    J'ai besoin de la beauté du rêve et des gestes.

    Lutin je suis, incorrigible joueur,
    Qui saupoudre d'une once d'espièglerie
    Les moments sérieux qui parsèment la vie,
    J'ai besoin d'être aussi ce doux rêveur...

    Lutin je suis, heureux dans ma folie
    Dans ma tête, l'âge n'a pas de prise,
    Oubliez que mes tempes deviennent grises
    Et riez avec moi, riez, je vous prie...

    Lutin je suis, je resterai Lutin,
    Avec mes états d'âme et mes coups de coeur,
    Décrochant les étoiles d'un sourire charmeur,
    Pierrot dans la lune, à jamais gamin !


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  • baiserMon coeur, voilà déjà deux ans
    Que nous nous sommes rencontrés...
    Où nous en sommes, maintenant,
    Nous n'aurions pu l'imaginer !

    La Vie réserve parfois des surprises,
    Et j'aime à rêver de ton sourire,
    De notre insouciance joueuse, comme une brise
    Qui souffle et balaye tout, sauf nos rires...

    Complicité de jeux, de tendresse libertine ;
    J'ai parfois peur des chemins qui se dessinent,
    Alors ce poème,

    Ces mots, sont un cadeau, aveu de mon coeur
    Qui grise mon âme d'une douce liqueur :
    M., Je t'aime...


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